Abstract
Critiqués pour leur manque d’objectivité et de rationalité, les témoignages d’observations d’ovnis et d’« ufonautes » invitent-ils, dans le contexte de la crise écologique, à reposer la question de la pluralité des mondes extraterrestres ou à ouvrir plutôt celle de la pluralité des mondes terrestres? Invitent-ils à s’interroger sur les preuves de la présence d’E. T. dans notre environnement ou sur la nécessité de cesser de voir le monde dans lequel nous évoluons comme un stock de « ressources », afin d’entrer en contact avec cette pluralité d’êtres et y trouver notre place dans un monde débarrassé du partage entre nature et culture?