L'apparition, après 338, d'un nouvel élément d'origine topographique dans la façon de distinguer les citoyens n'a pas eu pour but de distinguer deux catégories de citoyens qui n'ont jamais existé. — Édition, en appendice, d'une double dédicace d'époque impériale votée par des tribus.

La découverte récente de l'appartenance de Cléonai à Argos pendant la période qui va de l'époque des diadoques à 235 environ permet de reprendre sous un jour nouveau l'étude de l'inscription IG IV 616, où le Koinon des Arcadiens et la cité de Stymphale sont frappés d'amendes évaluées en χρυσοί. Loin de se rapporter à l'Anolympias de 364, selon une hypothèse de M. Fränkel qui a connu un grand succès, elle émane d'Argos et a trait aux concours néméens. Elle pourrait (...) dater de 315, année où Cassandre, victorieux de Stymphale et de cités arcadiennes, célèbre les concours à Némée. Dans cette perspective, il faut admettre que le Koinon des Arcadiens a survécu à la guerre lamiaque ou, au moins, a été restauré au début des années 320-310. (shrink)

Un réexamen des textes (Pausanias, II 19, 3 et scholie à Sophocle, Electre 4 et 6) montre que le temple d'Apollon Lycien abritait sept ou huit statues et une flamme pérenne, le «feu de Phoroneus». La découverte de lyres à carapace de tortue dans le champ Granias ne nous aide pas à le localiser.

Δύο ἐπιγραφικά εὑρήματα πού δημοσιεύτηκαν πρόσφατα ἴσως μᾶς ἐπιτρέψουν νά προσδιορίσουμε σέ δύο σημεῖα τό ὁδοιπορικό πού ἀκολούθησε ὁ Παυσανίας στό Ἄργός. Τό πολιτικό κέντρο τῆς πόλης ἦταν ἐγκαταστημένο στους πρόποδες τῆς Λάρισας, κατά μῆκος του δρόμου ἀπό τήν Κόρινθο στήν Τεγέα· στό σημεῖο αὐτό συγκλίνουν οἱ δρόμοι πού ὁδηγοῦν στήν Τίρυνθα καί στήν Ἐπίδαυρο ἀφ' ἑνός, στό Ήραῖο καί στό βορειοανατολικό τμῆμα τῆς 'Αργολίδας ἀφ' ἑτέρου. Φαίνεται πώς θά πρέπει νά γυρέψουμε τήν πύλη τῆς Εἰλιθυίας ἀπό ὅπου ἔφτασε κανείς (...) στό Ήραῖο κάπου πάνω στον ἄξονα τῆς σημερινῆς ὁδοῦ Θεάτρου καί λίγο βορεινότερα. Μιά ἐπιγραφή πού θά μποροῦσε νά προέρχεται ἀπό τό ἱερό τοῦ Διονύσου καί βρέθηκε κοντά στήν ἐκκλησία τοῦ Ἁγίου Πέτρου φαίνεται νά βεβαιώνει τήν ὑπόθεση τοῦ Boethius ὅτι ἡ Κοίλη πρέπει νά ἀναζητηθεῖ σ' αὐτόν τόν τομέα. (shrink)

1. Les îles de Kimolos, Pholegandros, Sikinos et Théra ont été intégrées dans l'empire athénien à la suite de l'expédition d'Alcidas (427), pour verrouiller la mer Egée. 2. Les diminutions du tribut de Colophon et Notion dans les années vingt sont à mettre en rapport avec les opérations de Pachès en 427 et la « nouvelle fondation » dont parle Thucydide (III, 34, 4). Appendice : II n'y a pas eu de bordereau de taxation en 428. La liste ATL II, (...) 27, qui date de 426/5, reflète le bordereau de la période VIII, qui n'a duré qu'un an. (shrink)

A l'époque classique, les citoyens d'Argos sont désignés par leur tribu et leur phratrie. Ce sont des subdivisions gentilices. Une autre subdivision, de nature topographique, apparaît dans le dernier tiers du IVe siècle. Elle disparaît à l'époque où Argos fait partie de la Ligue achaïenne. D'après un décret du IIIe siècle, elle pourrait avoir porté le nom de pentekostys.

Édition d'un nouveau fragment de la dédicace d'Hadrien SEG XI 340. Elle avait trait à la réfection d'un des temples urbains d'Héra, détruit par un incendie.

The new fragment IG V 1, 1 published by A. Matthaiou and Y. Pikoulas (Ηόρος 7 [1989], p. 77-124) makes it possible to re-examine the relations of Chios with Athens and Sparta during the Peloponnesian War. The identification of the Chian exiles who contributed to the Lacedaemonian war chest as the same ones whom the admirai Cratesippidas returned to their island in about 409 enables the inscription to be assigned to the period of the Ionian War, a context that throws (...) much more light on various aspects of it. — Appendices : 1. The duration of the mandates of the Spartan admirals. — 2. The « missing year » in the firsl book of Xenophon's Hellenica. — 3. Eleonicos, Tissaphernes and the Thasian revolt. — 4. Passipidas' embassy. (shrink)